Une bicyclette de rien du tout, aux roues voilées, le cadre recouvert de rouille et le guidon désaligné. C’est pourtant tout ce dont il dispose dans sa fuite à travers le pays, sur les petites routes de campagne, pour atteindre la centrale et les réacteurs qu’il doit stopper. Mille kilomètres d’échappée à travers champs et labours, en espérant éviter les hordes ennemies qui peuvent rouler dix heures d’affilée sur des Triumph TR6 en se nourrissant d’écureuils irradiés.