... chassés de la lumière...

Par Nicolas S.
Voilà une bien mauvaise traduction du titre original, No name in the street. En fait, il traduirait assez bien Playing in the dark de Toni Morrison. Mais la vision de James BALDWIN est ô combien plus éclairée (pour garder la métaphore lumineuse), plus personnelle, plus pertinente, plus touchante, moins académique, moins scolaire (dans le mauvais sens du terme), moins bavarde que celle d'un prix Nobel.
La suite ? Quand je serai à mon tour un peu inspiré...