Jordan Bardella, nouveau président de SOS Racisme…

Jusqu’où ces gens vont-ils pousser le ridicule ? Dans le genre plus c’est gros, plus ça passe, je vous présente , Jordan, ce gendre idéal à la gueule de faux cul qui creuse le sillon du racisme anti-blanc, cette escroquerie intellectuelle que sa tata avait déjà tracé avant lui…

Pourtant, pour moi, je n’en suis pas désolé, cibler des gens racisés (par les autres…) reste et demeure toujours une infamie. Et prétendre au racisme quand ses victimes tentent de se rassembler pour échanger sur ce qu’ielles vivent en l’absence de leurs détracteurs, de leurs oppresseurs, voire de leurs prédateurs, voilà une pratique de défense collective somme toute assez salutaire, il me semble. Comme dit l’autre, sur un autre registre, les réunions syndicales ne se tiennent pas en la présence de leur patron. Mais pour comprendre cela, il faudrait encore savoir fermer sa grande gueule de mâle blanc dominant et ne pas vouloir imposer sa parole partout et sur tous les sujets. On n’attend donc pas vraiment que le petit Jordan, si peu suspect de préoccupations humanistes, se saisisse du sujet sincèrement…

Mais si j’évoque ce sujet aujourd’hui, c’est qu’il me semble tout à fait illustrateur et caractéristique de ce que je nomme ici pour l’observer régulièrement inversion réthorique, et que d’autres plus qualifiés que moi désigneront sous le terme d’inversion accusatoire, un procédé de manipulation bien connu par les pervers…. et dont il est bien difficile de se dépêtrer, sachant que pour ces gens qui sont littéralement dans une impasse, à la fois idéologique mais également financière, l’attaque est la meilleure défense…

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