Brunch se propage, accompagnements et plus à l’événement du Conseil des arts par un chef réputé

CÉLÉBRITÉ CHEF: Nick Liberato, une personnalité de la télévision culinaire qui ouvrira bientôt une épicerie juive à Stockton, animera un tutoriel virtuel gratuit pour le Conseil des arts de Princeton le 6 avril.

Par Anne Levin

Les racines de Nick Liberato sont strictement italiennes. Sa grand-mère d’un côté était une excellente cuisinière. Ses grands-parents, de l’autre, avaient trois stands au marché italien de Philadelphie, où il passait de nombreux week-ends d’été en tant que garçon, pesant des fruits et des légumes et apprenant le métier.

Mais grandissant à Yardley, Pennsylvanie, Liberato – familier aux fans d’émissions de cuisine télévisées telles que Sauvetage dans un bar et Restaurants sur le bord – avait principalement des amis juifs. Il est allé à leur bar et à leurs bat-mitsva. Il a assisté à leurs célébrations de vacances. À un jeune âge, il est devenu un fan de la culture, en particulier liée à la nourriture.

Malgré cette affinité, ouvrir une épicerie fine juive n’est pas quelque chose que Liberato envisageait dans le cadre de son cheminement de carrière. Mais sa dernière entreprise, la Borscht Belt Delicatessen, n’est que cela. Hommage à la culture et à la cuisine juives, la charcuterie est la cible de ses débuts mi-avril au Stockton Market.

Pendant ce temps, le mardi 6 avril de 19 h à 20 h 30, Liberato accueillera «Votre planche à découper, votre palette: l’art de présenter le brunch du dimanche» pour le Conseil des arts de Princeton.

«Jamais, dans mon esprit, je n’aurais imaginé que j’ouvrirais une épicerie juive», a déclaré Liberato. «Mais je comprends maintenant vraiment la cuisine et la culture. J’ai réalisé que les gens peuvent être proches de la nourriture juive. Il faut penser à toutes les différentes cultures et à tous les différents pays d’où proviennent ces merveilleux plats. Cela en fait partie. Ensuite, vous avez aussi cette belle scène de charcuterie, qui s’éteint. Je voulais faire revivre ça.

Une fois qu’ils se sont installés sur l’idée de la charcuterie, Liberato et ses deux partenaires du 618 Hospitality Group ont décidé de s’inspirer des hôtels autrefois populaires de la région des montagnes Catskill, connus sous le nom de ceinture de bortsch. «Les hôtels ne sont plus là», dit-il. «Mais nous aimons les histoires derrière eux», a-t-il déclaré.

L’ouverture du restaurant amène Liberato à boucler la boucle. Avec sa femme et ses trois jeunes filles âgées de 2, 5 et 6 ans, il a déménagé de Los Angeles dans la région de Newtown, en Pennsylvanie. L’épouse de Liberato, qui enseigne l’espagnol dans le district scolaire de Neshaminy, est juive et sont des membres actifs de la synagogue Shir Ami. Ses parents vivent toujours à Yardley.

Auparavant, les voyages étaient une grande partie du travail de Liberato. Pour Netflix Restaurants sur le bord, il faisait partie d’une équipe présentée dans des segments de restaurants à rénover dans des endroits tels que Sainte-Lucie, l’Autriche, le Costa Rica, Hong Kong et Malte. Dire aux restaurateurs que leur nourriture est mauvaise et que leur plan d’affaires est médiocre fait partie du travail.

«C’est certainement l’une des parties les plus difficiles de l’émission lorsque je fais des critiques», a-t-il déclaré. «Je dois être direct. La vérité fait parfois mal. Mon temps est très limité, donc je dois aborder des choses sur lesquelles il faut travailler. Les gens prennent cela très au sérieux parce qu’ils savent que je suis sérieux. J’ai travaillé avec beaucoup de gens formidables, et certains ont été difficiles. Lorsque vous pouvez mettre votre ego de côté, les choses les plus étonnantes peuvent arriver. »

À l’origine, Liberato et ses partenaires pensaient ouvrir un restaurant haut de gamme avec un permis d’alcool. Mais COVID-19 est intervenu. «Nous voulions faire quelque chose qui soit plus à l’épreuve des pandémies», a-t-il déclaré. «Nous voulions également élever la communauté et augmenter le trafic à Stockton. L’épicerie fine Borscht Belt va renforcer l’intégrité de la marque et lui permettre d’être une destination.

Lors de l’événement du Conseil des Arts, qui est gratuit, Liberato prévoit de montrer comment faire une alternative au mimosa traditionnel. Il parlera de ses tartinades et accompagnements de brunch préférés, et montrera comment assembler une «assiette à bec» avec des garnitures et des canapés, en utilisant des couleurs et des textures comme un artiste pour rehausser un plat. Visitez artscouncilofprinceton.org pour plus d’informations.

En plus d’ouvrir l’épicerie, Liberato et ses partenaires ont créé trois entreprises différentes et se préparent à lancer une nouvelle application. «La pandémie, si vous êtes assez chanceux pour être resté en bonne santé, est le moment de construire ou de renommer ou de faire tout ce que vous devez faire pour sortir fort de cette chose», a-t-il déclaré. « Vous pouvez dire à quel point c’est horrible, ou vous pouvez faire preuve de créativité et vous amuser. »

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