Je ne sais pas si c’est une référence à la pièce mais on m’a dit que tout ce qu’il écrivait, il le faisait en ayant près de lui une cabeza mexicaine, alors je rédige mon texte en faisant de même.Guy-Pierre Couleau nous a exprimé à travers quelques mots de bienvenue sa joie de pouvoir au final parvenir à jouer 3 jours même si ce n'est que devant à chaque fois une vingtaine de spectateurs, et qu'on est loin des six semaines prévues initialement.Il a insisté sur l'expérience collective de réflexion sur le monde que nous offre le théâtre. Une autre est celle de la maladie (et j’ajouterai de la mort). La troupe a répété sous ce double signe de l’inquiétude et de l’espoir. Il n'est pas inutile de le savoir.Quant à l’avenir, personne ne le connaît actuellement. Je vous invite donc à consulter le site de la compagnie pour connaître les dates de la tournée que l’on espère prochaine. Elle passera notamment par le Théâtre d'Auxerre, la Scène nationale de Château Gontier, et au printemps 2022 par le Théâtre Victor Hugo de Bagneux, avant de revenir au Théâtre 13 Jardin. Je fais partie de ceux qui saluent le travail de ce metteur en scène qui a monté plusieurs pièces de Shakespeare. On retrouve d'ailleurs dans la distribution plusieurs comédiens que j'avais remarqués dans Le songe d'une nuit d'été au Théâtre du Peuple de Bussang. Pour lui le théâtre est (aussi) une question de fidélité : vingt ans après y avoir joué Le Baladin du monde occidental de JM Synge, et à l’invitation de sa directrice Colette Nucci, le revoici sur la scène du Théâtre 13 (lequel a connu de gros travaux) pour cette Tragédie d’Hamlet de William Shakespeare.Il reconnait que le choix de cette pièce peut paraître paradoxal, parce que pour beaucoup, Hamlet reste l’incontournable. Cependant, comme dans tous les grands textes, l’appel du sens est un chemin nécessaire pour qui souhaite avancer.
Je ne sais pas si c’est une référence à la pièce mais on m’a dit que tout ce qu’il écrivait, il le faisait en ayant près de lui une cabeza mexicaine, alors je rédige mon texte en faisant de même.Guy-Pierre Couleau nous a exprimé à travers quelques mots de bienvenue sa joie de pouvoir au final parvenir à jouer 3 jours même si ce n'est que devant à chaque fois une vingtaine de spectateurs, et qu'on est loin des six semaines prévues initialement.Il a insisté sur l'expérience collective de réflexion sur le monde que nous offre le théâtre. Une autre est celle de la maladie (et j’ajouterai de la mort). La troupe a répété sous ce double signe de l’inquiétude et de l’espoir. Il n'est pas inutile de le savoir.Quant à l’avenir, personne ne le connaît actuellement. Je vous invite donc à consulter le site de la compagnie pour connaître les dates de la tournée que l’on espère prochaine. Elle passera notamment par le Théâtre d'Auxerre, la Scène nationale de Château Gontier, et au printemps 2022 par le Théâtre Victor Hugo de Bagneux, avant de revenir au Théâtre 13 Jardin. Je fais partie de ceux qui saluent le travail de ce metteur en scène qui a monté plusieurs pièces de Shakespeare. On retrouve d'ailleurs dans la distribution plusieurs comédiens que j'avais remarqués dans Le songe d'une nuit d'été au Théâtre du Peuple de Bussang. Pour lui le théâtre est (aussi) une question de fidélité : vingt ans après y avoir joué Le Baladin du monde occidental de JM Synge, et à l’invitation de sa directrice Colette Nucci, le revoici sur la scène du Théâtre 13 (lequel a connu de gros travaux) pour cette Tragédie d’Hamlet de William Shakespeare.Il reconnait que le choix de cette pièce peut paraître paradoxal, parce que pour beaucoup, Hamlet reste l’incontournable. Cependant, comme dans tous les grands textes, l’appel du sens est un chemin nécessaire pour qui souhaite avancer.