1) On peut imaginer un observateur continûment accéléré. En effet pour casser le problème de l'énergie infinie nécessaire à l'accélération d'une masse donnée, la solution consiste à avoir un observateur dont la masse dimininue au fur et à mesure de son accélération, jusqu'à devenir lui même un rayonnement électro magnétique sans masse. On peut très bien imaginer qu'un tel observateur puisse se concevoir, si on admet qu'un rayonnement peut contenir une information et que cette information puisse changer au cours du temps en fonction des interférences rencontrées.
2) Si on passe le point 1), alors partant de notre référentiel terrestre, un tel observateur qui accélère, voit régulièrement les distances relativistes du repère initial devenir de plus en plus petite. (contraction des longueurs).
3) Cela signifie que pour un tel observateur il se passe pour le référentiel de base un changement d'échelle. Un changement d'échelle tel, qu'au bout d'un moment tout objet spatialement limité du référentiel de base, prend les apparences de particules, puis, passe en dessous de la barrière de planck.
4) Mieux. Etant donné une quantité d'énergie suffisante, et délimitée spatialement = "X" dans le référentiel de départ, la contraction des longueurs finira par faire apparaître "X" comme un trou noir.
Question : Quelle apparence a la galaxie pour un observateur luminique ou quasi luminique passant à côté (ou à travers pourquoi pas) en fonction de sa vitesse relative ? Un trou noir, un atome, un rayonnement, ou une planète ?
Qu'en déduire ?