Lorsqu'un individu joue le vantard, tout en étant un peu voyou sur les bords, on dit parfois familièrement qu'il "fait le cacou". Une expression dont l'origine provient du Midi de la France. Le mot "cacou" vient du patois provençal "cacoua" qui était synonyme encore du XVIIIème siècle du mot "cadet", soit l'enfant qui est né après l'aîné au sein d'une fratrie. Moins pris par les obligations familiales, il arrivait ainsi que certains "cacous" mènent une vie agitée et dissolue. Une mauvaise image qui a ensuite été reprise pour donner un sens plus moqueur à ce terme, en désignant les enfants turbulents, voire péjoratif, afin de décrire les personnes qui friment. "Faire le cacou" est à l'origine d'autres formulations régionales, comme "faire le kéké, le caque, le cake ou encore le quécou".
Lorsqu'un individu joue le vantard, tout en étant un peu voyou sur les bords, on dit parfois familièrement qu'il "fait le cacou". Une expression dont l'origine provient du Midi de la France. Le mot "cacou" vient du patois provençal "cacoua" qui était synonyme encore du XVIIIème siècle du mot "cadet", soit l'enfant qui est né après l'aîné au sein d'une fratrie. Moins pris par les obligations familiales, il arrivait ainsi que certains "cacous" mènent une vie agitée et dissolue. Une mauvaise image qui a ensuite été reprise pour donner un sens plus moqueur à ce terme, en désignant les enfants turbulents, voire péjoratif, afin de décrire les personnes qui friment. "Faire le cacou" est à l'origine d'autres formulations régionales, comme "faire le kéké, le caque, le cake ou encore le quécou".