Un article de FranceInfo qui nous confirme beaucoup de choses et pose de très intéressantes questions.
Autre fait : pour les personnels soignants on a choisi le vaccin Astrazeneca qui, ce n’est pas un hasard, est un vaccin « normal » c'est-à-dire qu'il n'utilise pas l’ARN Messager comme les vaccins Pfizer et Moderna.
Et encore : « la Covid-19 est devenue la principale maladie nosocomiale de France ! » Ce n’est pas un scoop, mais le gouvernement ne s’en vante pas. Beaucoup de gens depuis un an ne sont pas allé se faire soigner pour d'autres maladies parce qu'elles avaient parfaitement conscience de ce risque.
Ce qui veut dire au passage que dans les mois et les années qui viennent ces malades risquent payer au prix fort le fait qu'ils ne se sont pas fait soigner pendant plus d'un an. Sans parler de ceux qui, psychologiquement, voire « psychiatriquement », n'auront pas supporté l'énorme pression des confinements à répétition et du terrorisme médical pratiqué en permanence par le gouvernement depuis le début de cette pandémie.
Confirmation : « les vaccins n'empêchent pas la transmission du virus : entre 40 et 70 % ! » Au passage cette formulation est plus impressionnante que celle utilisée dans cet article, à savoir : les vaccins semblent casser une partie seulement des transmissions – peut-être entre 30 et 60% » !
Autre confirmation : « S'il n'y a pas tellement de bénéfice en augmentant la couverture vaccinale, et qu'il existe un risque de perdre des soignants, alors ce n'est pas intéressant. »
Et encore : « l'obligation vaccinale ne repose pas entièrement sur des arguments scientifiques, il s'agit également d'un choix politique ».
Et enfin : « L'intention vaccinale est fortement liée au niveau de confiance exprimé envers les autorités. » Compte tenu de la politique pour le moins erratique du gouvernement depuis un an dans ce domaine, il n'est pas surprenant que la confiance des Français soit fortement émoussée.
« La vaccination, ce n'est pas la société, c'est ma santé »
Tant que les vaccins n'empêcheront pas la transmission du virus, se faire vacciner ou pas demeurera une question personnelle, et non une question sociale.
Tous ces arguments contre l'obligation vaccinale sont connus depuis le début de la pandémie. D'abord révélés par les spécialistes honnêtes : médecins et chercheurs. Ensuite parce que ces spécialistes ont largement contribué à informer le grand public sur ces questions.
Le gouvernement marche sur des œufs avec le personnel soignant car si on les bloque la situation sera effectivement catastrophique pour les patients. Et donc pour le gouvernement.
En sera-t-il de même avec le grand public ?
Ce n'est pas sûr du tout. En effet, il semble que si le gouvernement prête une oreille attentive aux objections du personnel médical il est absolument sourd aux mêmes arguments lorsqu'ils sont invoqués par le reste des Français. Il fait même tout ce qu'il faut depuis le début de la pandémie pour éviter que ces arguments se répandent dans le grand public.
Il faut reconnaître qu'au début de la pandémie plus de 60% de la population était réticente en ce qui concerne la vaccination. Actuellement il semble que la proportion soit inversée à savoir que 60 % des Français sont maintenant favorables au vaccin. Mais à mon avis c'est uniquement parce qu’à force de terroriser les Français beaucoup désormais ont vraiment peur. De plus après une année entière de matraquage psychologique de la part du gouvernement et de confinements à répétition ils ont très envie de sortir au plus vite de cette situation. Comme on leur répète depuis le début qu'il n'y a qu'une issue : le vaccin, les Français sont maintenant majoritairement résignés à se laisser vacciner.
Et oui ! Matraquez, matraquez, il en restera toujours quelque chose.
La pandémie actuelle, d'une envergure unique dans l'histoire moderne, a démontré que les sociétés de type autoritaire, suivez mon regard, sont mieux parvenues à gérer cette crise que les sociétés dites démocratiques.
Si vous ajoutez à cela le fait qu'avec les nouvelles technologies et notamment les techniques modernes de communication, les gouvernants d'aujourd'hui de ces sociétés « démocratiques » disposent de beaucoup plus de pouvoir que leurs prédécesseurs, vous pouvez être assuré qu'un parfait autocrate comme Macron doit être enchanté par la tournure que prennent les événements.
Grâce à la pandémie et n'oublions pas grâce au terrorisme, qui lui a permis d'instaurer en France des mesures attentatoires à la liberté, grâce à la peur qu'il n'a cessée d'inspirer à nos concitoyens depuis un an, il a toutes les chances d'être réélu à la prochaine élection présidentielle (au pays des aveugles, les borgnes sont rois). Ce qui lui permettra pendant cinq ans de plus (putain 5 ans ! Comme disait Chirac) d'améliorer encore ses talents de manipulation des masses.
Effectivement ! Après quatre ans de pouvoir vous ne pouvez l'ignorer, cet autocrate, grand connaisseur et admirateur de Machiavel, ne dispose pas d'un atome d'empathie pour les gens de ce pays en état de faiblesse, et ne s'intéresse qu'à une seule chose : lui-même.
Comme disait Pierre Dac : « Notre avenir n'est plus ce qu'il était".
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