L’olaparib est, depuis le 1er février 2021, disponible et pris en charge dans le cadre d’un dispositif post-ATU de cohorte lorsqu’il est prescrit en association avec bévacizumab dans le traitement d’entretien des femmes atteintes d’une forme avancée de cancer de l’ovaire, des trompes de Fallope ou péritonéal primitif, qui répondent partiellement ou complètement à une première ligne de traitement associant une chimiothérapie à base de platine et le bévacizumab, et dont le cancer est associé à un défaut de recombinaison homologue (HRD+) défini par une mutation des gènes BRCA1/2 et/ou une instabilité génomique. Cet arrêté, paru au Journal Officiel, repose sur les résultats de l’essai PAOLA-1, démontrant l’efficacité de l’association olaparib-bévacizumab dans cette indication.
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