Encore un exemple : Le secrétaire général CGT 93 relaxé grâce à une vidéo.
Le tribunal a rejeté les accusations de violences sur un syndicaliste, en octobre 2019, démenties par une vidéo.
De plus, le Tribunal correctionnel de Bobigny a refusé la requalification des faits en outrage. Le juge a mis en avant le caractère mensonger des policiers qui avaient porté plainte contre le syndicaliste lors d’une manifestation, le 31 octobre 2019, pour violence à l’encontre d’un policier.
Les faits sont clairs : Présent sur le parvis de la préfecture avec une banderole contre « la casse des services publics », les manifestants alors chargés par les forces de l’ordre ont tenté de résister.
Lors de l’audience, le syndicaliste poursuivi a reconnu avoir fait tomber le calot d’un policier dans la bousculade. Fort heureusement, la scène filmée, et versée au dossier, a confirmé qu’il n’y avait eu aucune violence envers le policier.
Une fois encore grâce à une vidéo, la vérité a montré que des personnes détenteurs de l’autorité publique n’hésite pas à mentir.
On comprend pourquoi le gouvernement veut à tout prix interdire cette liberté de filmer.
Section PCF de Sète