Je me souviens
du dîner à préparer tous les soirs en rentrant du collège.
De l’obligation de 19h.
De l’impossibilité de s’y soustraire.
Et du stress et de la colère qui se heurtaient à l’intransigeance du désir masculin déjà.
Je me souviens
du dîner à préparer tous les soirs en rentrant du collège.
De l’obligation de 19h.
De l’impossibilité de s’y soustraire.
Et du stress et de la colère qui se heurtaient à l’intransigeance du désir masculin déjà.