Au Café Graffiti, pas moins d’une cinquantaine de personnes par an (de tous âges et toutes catégories professionnelles) effectuent des travaux communautaires. Un va-et-vient constant utile pour l’organisme ; mais l’est-il autant pour ces jeunes? Rencontre avec un avocat, un contrevenant et un organisme pour en apprendre davantage.
Un texte de Delphine Caubet publié pour les abonnés de RDS+. Un abonnement à Reflet de Société soutient notre intervention auprès des jeunes.
Dossier Communautaire
Petite note : « On doit distinguer travaux communautaires et travaux compensatoires, ces derniers étant réservés aux personnes dans l’impossibilité de payer une amende », s’exclame David Henry, porte-parole de l’Association des services de réhabilitation sociale du Québec (ASRSQ).
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