Février. Un pardessus même pas élimé, encore tout lisse et bien blanc recouvre les sommets du massif. Arthur G. est ravi, il lui semble que Noël rebondit deux mois plus tard. Enfilant ses chaussures à semelles crantées il s’élance dans les chemins enneigés, excité et bien décidé à courir dans la poudreuse toute la matinée.
Avril. Les rivières glougloutent jusque dans la vallée, chargées d’une eau cristalline et froide. Au village on s’est rassemblé pour contempler ce que la fonte des neiges apporte. Et soudain on aperçoit rouler dans la rivière une chaussure à semelles crantées.