Hier était un de ces jours où je n’arrivais pas à faire un bon virage. La neige était pourtant bonne, la visibilité aussi, mais quelque chose ne tournait pas rond.
L'appréhension, le manque de vitesse, juste une journée « sans » je présume, avaient contribué à me faire skier comme le vieux gars que je suis devenu. Pas une sensation plaisante, mais une qu’il faut quand même accepter, absorber et bien digérer.
Merci, Espoir, tu es le meilleur !