Antonia ne nous cache rien des tourments infligées aux femmes lors de l'épilation du maillot.Ce n'est pas ce sketch qui va inciter les hommes à se faire épiler 😉
Pour le reste je le fais moi-même, pour tout le corps. Il existe maintenant d'excellentes tondeuses qui m'évitent ce genre de supplice. Sauf pour le dos évidemment.
Mais j'ai pu constater qu'effectivement notre peau s'habitue à la douleur. Les premières fois lorsqu'on m'épilait certaines parties plus sensibles du dos cela me faisait mal. Maintenant je ne sens plus rien et même je m'endors.
Il se trouve que je suis très « métrosexuel », ce qui n'a rien à voir avec le métro et encore moins avec le sexe et qui signifie : « Relatif à un homme soigné, un citadin qui travaille son apparence » Terme que l'on n'emploie plus beaucoup ; les hommes seraient-ils devenus tous métrosexuels ?
Je n'en suis pas persuadé, même si par rapport à ma jeunesse, il y a eu beaucoup de progrès.
Pourquoi suis-je, à 74 ans, métrosexuel ?
Parce que, comme aimait à le dire le regretté Philippe Noiret : « Plus la marchandise vieillit, plus il faut soigner l'emballage » .