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Un Smart Building, équipé de capteurs de plus en plus intelligents, a accès à de nombreuses données pertinentes de l’écosystème. Ainsi, il mesure le taux d’occupation des espaces de travail partagés, adopte une démarche de maintenance prédictive sur les différents équipements et permet d’adapter, d’anticiper et de piloter certaines actions de manière quotidienne. Les bénéfices sont donc clairement appréciables et permettent aux exploitants de bâtiments d’accéder à de réels indicateurs de pilotage. Ces tâches complexes à gérer de manière traditionnelle sont alors simplifiées et industrialisées. Le bâtiment connecté devient véritablement intelligent.
Pour autant, pour offrir de vrais services, il ne suffit pas de multiplier les équipements connectés. En effet, tous ces systèmes doivent pouvoir communiquer ensemble et être pilotables de façon centralisée. Il s’agit donc de rationaliser les opérations de gestion. C’est sur ce point que se concentre le vrai sujet de la gestion des bâtiments connectés. L’usage de technologies de pointe permettant de proposer une expérience d’utilisation intuitive est alors indispensable.
Ce faisant, il sera possible de planifier ses journées à distance en réservant ses espaces de travail (salles de réunion, poste de travail, etc.) et ses services (conciergerie, restauration, etc.). Mais ce n’est pas tout, le pilotage de son environnement de travail sera aussi une réalité pour bénéficier d’un environnement de travail agréable (luminosité, stores, chauffage, etc.). Au final, l’expérience et le parcours des occupants du bâtiment seront donc optimisés et la qualité de vie au travail sera améliorée pour plus d’efficacité et de performance.
A propos de l'auteur : Olivier Rousseliere est directeur général chez Klood.