Je parcours un pays très étrange. J’aime la forêt, son silence cadencé, j’aime la mer, ses vagues toujours nouvelles et ses voiliers chantant, là-bas, au plus haut de l’horizon, papillons du soleil levant.
Les enfants sont adorables, qui dessinent ainsi le pressentiment et l’aventure.
Et les hommes sont absents.
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Maurice Blanchard (1890-1960) – L’offrande (1953) – Maurice Blanchard (Seghers / Poètes d’aujourd’hui, 1988) par Pierre Peuchmaurd.