Dans mon enfance, ayant ma part de ciel,
j’étais toujours à apprendre à voler.
Maintenant, je ne peux plus voler même dans mes rêves
Et mon ciel s’appuie sur la terre.
Mais, quand tu ouvres les yeux de mon ậme,
Tu me présentes tout l’Univers, je perds mon corps
Et je sens ma respiration devenir légère.
Parfois je quitte la terre et je sens mon cœur tellement serré,
Que la tristesse d’un orphelin sans mère
Remplit mon silence.
Inexpliquables les moments, quand Jésus écrivait sur le sable.
Écrivait et effaçait, et, ce qu’il effaçait
Demeurait en nous éternellement.
Givi Alkhazichvili
Givi Alkhazichvili Givi Alkhazichvili Givi Alkhazichvili