L’IGPN voulait la peau du policier lanceur d’alerte.
Un brigadier-chef de la police nationale exerçant ses fonctions à Pau de 2013 à 2020 était devenu « l’homme à abattre » après avoir dénoncé « des violences policières illégitimes, (…) et autres agissements illégaux » au sein de son commissariat.
L’IGPN , elle-même , lui était tombé dessus , en le traînant au tribunal pénal pour « dénonciation calomnieuse » et » dénonciation mensongère « .
Finalement, il avait été relaxé en première instance, en juillet 2019.
Et les juges ont confirmé leur décision, fin décembre 2020, face au parquet, qui avait lui aussi décidé de s’acharner sur le fonctionnaire, en faisant appel !
Section PCF de Sète