Ce sont des lignes ou bien des dessins, quelques traits noirs sur une feuille ou un écran, des traces de vie par câbles interposés. Tu te connectes, tu cliques, tu prends des ascenseurs virtuels sur les côtés, comme des regards lancés à la dérobade. Et comme les femmes que tu n’auras pas, il y a les écrits que tu ne produiras pas, les tableaux que tu ne peindras pas et les clichés que tu ne photographieras pas. Parce que tu préfères jouer le rôle du voyeur qui convient mieux au format de tes tripes rabougries.