Un prétendu journaliste fait partie des personnes mises à la porte.
« L’homme qu’il faut à la place qu’il faut », a-t-on coutume de dire sur le continent africain. Le Bureau National de l’Etat Civil, en abrégé BUNEC, est certainement d’accord avec cet adage largement partagé. Et c’est assurément la raison pour laquelle cet organisme a fait du ménage en son sein. Selon ce qu’affirment nos confrères de Radio Equinoxe, le Bureau National de l’Etat Civil a licencié de nombreux employés, dont un soi-disant journaliste, pour détention de faux diplômes.
C’est lors du conseil d’administration tenu à la fin du mois de décembre 2020, dans la salle de délibération de la commune urbaine de Yaoundé, que le BUNEC en a décidé ainsi.
Outre le licenciement massif, les responsables du BUNEC en ont profité pour nommer certains personnels à des postes de responsabilités.