Avant d'être un artiste musical, Maxime Ginolin est un homme engagé. Connu pour son véganisme, celui qui est chanteur, réalisateur et acteur, lutte également contre le sectarisme, les abus religieux en tout genre, mais aussi contre le conspirationnisme, les discriminations, et pour une réflexion objective et scientifique.
Mis à part ses oeuvres musicales, Maxime Ginolin est célèbre pour ses oeuvres cinématographiques, et notamment son court-métrage sorti sur Internet en 2014, qu'il nommera Le Jugement, ce court-métrage dénonce la maltraitance envers les animaux et les arguments (sois-disant) fallacieux des personnes omnivores, s'il est réalisateur de cette oeuvre, Maxime Ginolin est également acteur de ce court-métrage, le jeune artiste activiste s'est glissé dans la peau de MagicJackTV, un personnage fictif que l'on peut aisément imaginer misanthrope, ce personnage est une énième invention de l'artiste, Maxime Ginolin se masque souvent derrière ce rôle.
Maxime Ginolin s'est également levé contre la grossophie (la discrimination vis-à-vis des personnes en surpoids ou en situation d'obésité), dans un nouveau court-métrage (dans lequel, cette fois-ci, il ne figure nullement) dénommé Grosse, ce court-métrage met en scène une femme (que nous pourrons suivre de l'enfance jusqu'à l'âge adulte) en situation de surpoids et les discriminations quotidiennes que cette dernière subie.
Côté musique, Maxime Ginolin a produit deux grands titres: Construire une religion, qui est une oeuvre musicale dénonçant la sois-disant absurdité des textes sacrés, la sois-disant absurdité de la croyance en un dieu, et la haine qu'a pu engendré la religion. Maxime Ginolin a également écrit Illuminati Dance qui cette fois, dénonce le conspirationnisme et les croyances que cela engendre (ici, la croyance en une société secrète, les Illuminati, qui serait responsable de tous les malheurs sociaux actuels, au lieu de chercher à comprendre la complexité des problèmes économiques et sociaux de nos sociétés contemporaines).