Magazine France
Le grand bon en arrière pour les salariés français mais également pour toute un epartie du noya dur du sarkozysme, les artisans et petitd commerçants , tous ces jadis poujadistes, nostalgiques de leur grand homme des années 60.
L'ex parrain de Le Pen a beau avoir disparu du cirque politique, ces idées sont vivaces, la faignasserie natureele des fonctionnaires, les immigrés qui y en atrop, le on n'en paye trop de s n'impôts, les charges asmhyxiantes, le apternzalisme bon teint vis à vis des salariés couplé à un refus de tout droit du travail et au mépris des syndicats, tout ça, c'est bien ce qui irrigue la droite réac depuis longtemps et quen Szarkozy, décomplexant ses troupes aréussi à canaliser et à faire parvenir au pouvoir.
Désolé, messieurs les artisans et les petits commerçants , pour les sarko boys, vous n'êtes utiles qu'en période d'élection, en nombre de voix représentés et en VRP spécialisés dans la retape de vos clents, fourguant le discours nauséabond du Borgne ou du représentant de chez Rolex. Discours quasi identique d'ailleurs.
LME : loi de modernisation de l'économie, immense fourre tout,,r evenant sur les 35 h, cocufiant aussi les cadres avec le forfait jour, cocufiant les syndicats qui ont été particulièrement naîfs, méalngeant des absurdités sur le'Internet Haut Débit en inventant des technos existant déjà à des autorisations infinis ou presques d'extensions des grandes surfaces.
Une LME ou on démolit aussi le Livret A, pour le plus grand plaisir des banques, tout en faisant en sorte que la Poste soit de moins en moins encline, après tout, on dit Banque Postale, à accueillir les plus pauvres et les laissés pour compte de la banque classique. Service public la Poste ? Oui, mais pour très peu de temps encore.
Si je fais dans le réducteur, on voit la nocivité de cette loi au fait qu'elle est en quelque sorte le fruit de l'uniçon des idées (?) et des volontés de Lagarde et Bertrand, rien que là, ça fait peur.
Mention spéciale pour le statut d'autoentrepereneur ou chacun pourra se déclarer son propre patron et lancer son activité, même sans connaissances reconnues ou qualifications dans le domaine chisi. Évidemment, si ça ne marche pas, nada niveau couverture sociale.
Allez, tous unis dans la précarité et l'allégeance aux banques, à la grande distrib , au saint marché et tous les veaux d'or actuels, ques que soient leurs divers états de santé (une crise où ça ?)