La majorité macronienne a alourdi l’arsenal de mesures, jusqu’alors repoussées car attentatoires aux libertés, épluchage des comptes bancaires des allocataires, accès aux fichiers des assurances vie, etc.
18 000 cas par an sont concernés sur les 2,4 millions de personnes indemnisées à l’assurance chômage.
Denis Gravouil de la CGT rappelle « qu’il ne faut pas bien sûr laisser passer les fraudes, mais il est incroyable de mettre autant de moyens alors que cela ne concernent que 18 0000 personnes sur 2,4 millions indemnisées. J’aimerai bien que l’on mette autant de moyens contre la fraude fiscale ou celles des cotisations sociales qui représente 25 milliards pour cette dernière et 40 milliards si on y ajoute la fraude à la TVA ».
Section PCF de Sète