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Vaccin anti Covid-19 : on ne sait plus à quel Saint se vouer !

Publié le 23 décembre 2020 par Tonton @supprimez

Alors que la polémique sur le vaccin contre la pandémie du siècle monte en intensité, les premières doses sont d’ores et déjà disponibles.

Cerise sur le gâteau, l’homme d’Etat le plus puissant du monde, Joe Biden, vient de se faire administrer sa dose de vaccin anti-Covid, tout ceci, en mondovision. Cette posture, loin d’être anodine, est sans nul doute une contre-offensive lancée contre la campagne, devenue virale dans les réseaux sociaux, lancée par les pourfendeurs du vaccin anti-Covid.

Le Président Jo Biden, s’il avait eu un zeste d’humour aurait pu paraphrasé son homologue camerounais en disant : « me voici donc en train de prendre ma dose de vaccin contre la Covid-19 », mais c’est tout comme. D’autant plus que le destin a voulu que le nouveau locataire de la maison blanche reçoive ce vaccin des mains d’une femme médecin d’origine camerounaise. Justement le Cameroun, pays de polémique par excellence, qui de surcroît à cette magie de se faire une place de choix, même là où on l’attend le moins. Mais pourquoi s’en étonner, quand on sait que : « impossible n’est pas camerounais ? ».

Quoi qu’il en soit, et en dépit de ce que d’aucun qualifierait d’un coup de pouce du Président Biden aux multinationales occidentales, les africains et les camerounais en particulier, sont dubitatifs et ne comprennent plus rien de tout ce qui se trame derrière ce vaccin, surtout que leurs dirigeants (pour la plupart), ont déjà fait le choix de l’accueillir. La question cruciale qui taraude les esprits est celle-ci : si ce vaccin est aussi dangereux comme le laisse entendre certains spécialistes, comment et pourquoi a-t-on pu l’administré au Président américain en personne, et à bien d’autres hautes personnalités occidentales ?

Cette éventualité à bien des égards est à proscrire, à moins que les firmes pharmaceutiques n’aient mis sur pied, deux vaccins, c’est-à-dire, un vaccin sans danger pour les occidentaux et ceux qui les dirigent, et un autre fabriqué, spécifiquement pour les africains, un vaccin tropicalisé, dont le dessein inavoué serait l’extermination d’une bonne partie de ces rebus de la société qui de temps en temps troublent la jouissance des « hommes bien de là-bas. Seul l’avenir pourra dissiper les nuages épais qui entourent ce vaccin contre le coronavirus. Mais en attendant, que Dieu nous garde !


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