Dans son projet de société de plus de 400 pages en cours de finalisation, le haut commis de l’Etat prône le développement de manière inclusive, harmonieuse et participative.
Candidat sérieux, Blaise Moussa a déjà dévoilé à la presse locale quelques axes forts de ce qu’il entend implémenter à l’Est, si, le 22 décembre 2020, il bénéficiait de la confiance de ses pairs pour la présidence du Conseil régional. Sur les motivations de sa candidature, l’homme explique : « La région de l’Est est tout autant riche de ses potentialités que de ses problèmes. Raison pour laquelle je m’engage à traduire ces problèmes en projet et programmes, et y trouver des financements vertueux et concessionnels, lesquelles doivent être conformes aux principes de l’Etat et ses partenaires au développement. Il faut faire en sorte que les ressources de notre région soient valorisées comme des actifs, avec des programmes bancables ». Sur la plus-value de son programme, il indique que « l’Est va se démarquer par son originalité qui sera à la base de sa compétitivité », résume-t-il en une phrase. A écouter les jeunes qui soutiennent sa candidature dans la région, l’Est n’a plus besoin du réchauffé.
De ces vieillards retraités qui ne pensent plus qu’à leur mort qu’à l’avenir, mais plutôt d’un jeune épris et soucieux d’un développement structurel et harmonieux à la tête du Conseil régional. La majorité pense qu’il est temps que le pouvoir fasse confiance à la jeunesse. Dans la région du soleil levant, Blaise Moussa est actuellement présenté comme un modèle de valeurs. Ces proches le présentent comme une personnalité conviviale, doté d’un droit de réserve, autonome, avec un sens de l’initiative toujours maitrisé, l’obligation de rendre compte, exigeant dans la responsabilité en milieu organisationnel et respectueux du principe hiérarchique.
Formation académique
Né le 21 mai 1974 à Bétaré-Oya dans le département du Lom-et-Djèrem, Blaise Moussa a un cursus académique et professionnel élogieux. Il est nanti d’une Licence en Science de gestion, d’un DESS en administration fiscale, d’un Master en finances en cours et Doctorant en cours sur les finances
publiques et du droit fiscal à l’université de Toulouse-1 Capitale. Des atouts qui lui permettent de mettre en exergue des éléments de formation continue portant sur le management des ressources financières et humaines, le management des projets/programmes/portefeuille, le genre et le développemental, la passion des marchés, les questions de normalisation, et d’amélioration continue. C’est à une sérieuse formation professionnelle Diplômantes de deux ans à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature qu’il s’est frotté, s’appropriant des questions de politique, d’administration et de finances publique/fiscalité.
Au plan managérial
Blaise Moussa n’a jamais failli dans les responsabilités qu’il a occupées au sein de diverses administrations. C’est comme contrôleur des finances publiques qu’il entame sa carrière professionnelle à la Direction générale des Impôts. Ce jeune Inspecteur principal des impôts est présentement Directeur des affaires générales au Ministère de la Fonction publique et de la réforme administrative. De ses passages dans différentes administrations, l’homme n’a laissé que des marques positives. Pas besoin de parler de ses prouesses comme Secrétaire générale à la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), ou il s’est illustré comme la cheville ouvrière lors de la campagne des Lions Indomptables lors de la Can 2017, et à l’organisation fort aboutie de la Can féminine de football en 2016. A l’Agence des normes et de la qualité du Cameroun (Anor), il fut le poseur de balise entre 2010 et 2015 quand il cumulait encore les fonctions de directeurs administratif et financier, et de Directeur de l’audit de la qualité. Sur le plan politique, c’est l’unanimité sur les services rendus au Rdpc, parti au pouvoir depuis les premiers jours de son âge en 1994. Il se distingue toujours par du concret.