En poésie, il n’y a ni commencement, ni fin. La photographie partage ce privilège. Simplement la saisie de l’instant.
Salut l’histoire ! Il n’y a plus d’histoire (je veux dire pas de roman).
Seulement des éclairs, des éclairs de lumière.
Une ouverture vers l'infini.
Edouard Boubat
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