Je ne connaissais pas la magnifique plume de Samuelle Barbier, qui aborde ici avec énormément de délicatesse des thèmes particulièrement sensibles tels que la mort, le suicide et le deuil. S’appuyant avec tendresse sur un amour fraternel touchant, l’auteur parvient à entourer les différentes phases du deuil de chaleur, d’amour et d’espoir.
« Celles qui restent » fait partie de ces romans tristes qui font finalement beaucoup de bien. Un récit doux, émouvant, tendre, sensible et précieux, qui mélange rires et larmes sans jamais forcer sur les doses.
Un coup de cœur !
Il ne me reste plus qu’à aller découvrir son précédent roman : « La sirène et le scaphandrier ».
Celles qui restent, Samuelle Barbier, Hugo Roman, 227p., 16,95€
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