"Bois, vis, fais l'amour,
toi qui a traversé le samsâra !"
Le Yoga selon Vasishta, V, 50, 75
"Que (l'éveillé) laisse libre cours
à la passion amoureuse,
qu'il s'adonne à la boisson
ou qu'il danse,
ou s'il abandonne toute société
dans les montagnes :
c'est égal."
Id. V, 56, 53
Remarquez qu'ici, Vasishta enjoint de vivre et de ne pas s'en tenir aux mœurs. Mais il n'invite pas à violer la morale.
Cela étant, est-il vrai que pour "l'éveillé", celle ou celui qui voit ce qui est tel que c'est, tout est "le même" (samam) ? Les circonstances ont-elles leur importance ?