En cette période de pandémie mondiale, dans laquelle tous les gouvernements de la planète ont préféré faire passer la santé avant l'économie, ce qui est à ce jour inédit dans l'histoire du capitalisme, la vraie question qui se pose, c’est celle du transhumanisme. Le transhumanisme est-il un humanisme ? On voit aujourd’hui, que certains transhumanistes, notamment dans la Silicon Valley en Californie, rêvent de cyborgs du futur, bardés de capteurs permettant de récolter en temps réel des informations sur l’état de santé de leurs organes, d’alerter en cas de de problème les secours, ou encore d’augmenter leur espérance de vie, avec pour horizon indépassable à leurs délires transhumanistes : le désir d’éternité, donc abolir la mort. Est-ce un rêve possible ou un cauchemar climatisé ?