Le monde peut se présenter souvent comme un univers de signes un à un juxtaposés sur l’étendue auxquels la pensée accroche ; ou pas même une pensée encore : une attention vague, une plus ou moins passagère aimantation, comme un mouvement réflexe tout à fait inconscient. De fait, l’œil fouille avec une apparente confusion les images et le reste du réel selon les aspérités, les reliefs, les