C’est un bord de rivière qui pourrait en être un autre, un bout d’affluent de quelque chose dans une campagne où le soleil obéit aux injonctions des poètes. Certains viennent potron-minet pour en capturer un morceau et le mettre dans une boite pour plus tard, comme ces restes de repas que l’on met dans une boite au restaurant pour emmener chez soi. Et les chevaux morts qui jonchent le chemin de halage, qui va les ramener chez eux ?