Le chant d’un oiseau le réveille, à moins que ce ne soit la brise du matin. Il ouvre les yeux et prend conscience de l’état de son corps douloureux, roulé en boule. Il se déplie lentement, se redresse doucement et pose les pieds sous le banc. Le temps passe.Le soleil apparait au-dessus des immeubles de l’autre côté du fleuve, des voitures roulent dans la rue, des messieurs en costumes et des femmes en tailleurs se pressent au travail, des gens courent dans le parc, d’autres promènent leurs chiens. Mais lui, il ne va rien faire de tout cela.