Synthèse générale
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3,8 % d’augmentation générale pour le mois d’octobre : c’est le taux mensuel le plus élevé depuis la prise de fonction de l’actuel président. Cela donne un chiffre de 26,9 % depuis le mois de janvier et de 37,2 pour les douze derniers mois (contre, rappelons-le, plus de 53 % pour l’année 2019, sous le mandat de Mauricio Macri).
L’habillement
est le secteur qui augmente le plus : + 6,2 %. Juste
en-dessous, avec 4,8 points, vient l’alimentation hors boissons
alcoolisées, lesquelles jouent pour un taux bien inférieur (1,9%).
Variations mensuelles, interannuelles
et par catégorie de produits
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Dans
l’alimentation, on est surpris de découvrir que les produits de
saison comme les fruits et les légumes (catégorie dans laquelle on
intègre les légumineuses). Ils montent respectivement à 8 et 15,9
dans la région de Buenos Aires et c’est pire ailleurs, y compris
dans la région de Cuyo, soit 14,3 pour l’un comme pour l’autre.
Pourtant c’est le printemps en hémisphère sud et Cuyo est la
grande région productrice de fruits et légumes qui fournit toute
l’Argentine.
"A cause de l'augmentation de l'alimentation,
l'inflation d'octobre atteint les 3,8%
soit le niveau le plus haut de l'année"
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Malgré cela, le gouvernement commence à réduire la portée de l’encadrement des prix à la demande des entreprises productrices et de la grande distribution. C’est ce que rapportaient hier Clarín et La Nación, deux journaux d’opposition.
© Denise Anne Clavilierwww.barrio-de-tango.blogspot.com
Pour en savoir
plus :
lire l’article de Página/12
lire l’article de La Prensa
lire l’article de Clarín
lire l’article de La Nación
lire le rapport complet de l’Indec (téléchargeable gratuitement en pdf)sur la réduction de l’encadrement des prix (hier)lire l’article de Clarín
lire l’article de La Nación