Envie et besoin de rompre la litanie sirupeusement consensuelle ambiante, en ce jour précisément, où l’on fait tant et trop appel à un sentiment patriotique qui m’est totalement étranger, et où l’on tente en haut lieu si pitoyablement de raviver une appartenance nationale (iste) que je conchie publiquement.
Le moment est donc propice je crois, de partager ceci, après avoir fait une bonne grasse mat’ jusqu’à près de midi ¹. Oui, car moi, que ce soit le jour du 14 juillet ou du 11 novembre, je reste dans mon lit douillet. La musique qui marche au pas, cela ne me regarde définitivement pas… ) . Alors, merci, Les Sans Nom. Ici, on sait tous ce que l’on vous doit 😉 . Au plaisir…
source, à écouter ici.¹ … ce qui ne m’était pas arrivé depuis des lustres, pour des raisons que l’on devine aisément