Camille Monceaux – Les Chroniques de l’Erable et du Cerisier

Tome 1 : Le Masque de No / 416p / Gallimard Jeunesse
Août 2020 / 20.50€ / Achat Ici
Reçu en SP dans le cadre de mon travail

RESUME :

Dans le Japon du début de l’ère Edo, Ichirô, un enfant abandonné, est recueilli et élevé loin du monde par un ancien samouraï qui lui enseigne la voie du sabre. Quand des événements dramatiques bouleversent sa vie, il part pour Edo. A 15 ans, il doit survivre seul dans une ville labyrinthique où l’attendent mille dangers. Une nuit, il découvre une mystérieuse jeune fille au visage dissimulé.

Quand j’ai vu cet ouvrage j’ai tout de suite été séduite par l’objet livre. C’est futile me direz-vous mais sur moi, je l’avoue, cela joue beaucoup. Je ne me ferme pas pour autant à un ouvrage moins travaillé mais avouons-le, Gallimard Jeunesse a fait fort avec ce graphisme !
Vous ne pouvez pas toucher l’ouvrage mais le grain de papier de la couverture est très original.
Les pages vous les voyez ci-dessus. Sublimes.

Vous êtes peut-être là pour que je vous parle de l’ouvrage aussi ?

Voici un premier tome qui nous plonge déjà totalement dans un Japon plein de traditions.
L’autrice signe ici son premier roman et quelle réussite !

Un univers riche en détails, Histoire, lieux et personnages.
Un style d’écriture qui permet de se délecter de cette invitation au voyage et d’apprécier les descriptions, pour ainsi permettre de s’attacher aux personnages et de se retrouver entièrement emporté.e par l’histoire.

Un premier tome qui alterne de nombreux rebondissements et des moments de contemplation pour mieux s’imprégner du contexte historique et culturel.
La fin de ce tome nous donne envie de découvrir la suite et ce que l’avenir réserve à Ichiro.

Un ouvrage dense, qui va vous transporter au fil des pages, le tout contenu dans un sublime objet livre où le graphisme a été travaillé.

Magnifique découverte !

J’ai été heureuse de te rendre service. Il est des personnes dont on voudrait parvenir à effacer le souvenir; il en est d’autres que l’on voudrait garder pour toujours auprès de soi