On lui a promis que tout s’arrangerait après un passage chez le barbier. Que toutes les bestioles écumantes qui rampaient sous son crâne seraient vaincues par les mains expertes d’un maître du rasage. Qu’il fallait simplement que l'on prenne soin de lui parce que lui, manifestement, ne savait plus comment faire. Alors il entre, s’assoit où on lui dit, range ses pieds, toutes ses jambes et ses mains sous la vaste blouse blanche, disparaît là-dessous, ne reste que la tête et les doigts immenses du barbier tenant l’instrument étincelant. Maintenant le fil du rasoir est prêt à trancher.