Mon beau-frère cinéphile parmi les cinéphiles m’a encoyé une petite vidéo avec ce message :Son message
J'étais à la première séance mercredi à UGC les Halles et Nicolas Maury est venu lui-même remercier la voix tremblante les 44 spectateurs venus voir son film.Ma réponse Oh merci ce film, son film m’a bouleversé, avec le chien j’ai pensé à toi. Je suis tellement contente que tu aies vu aussi le film. Il a filmé l’évidence d’aimer qui on veut, avec une simplicité sensualité jamais égalée : aimer comme on peut... avec ce qu’on est. Ce gars est d’une sincérité qui donne des pistes de l’espoir d’un monde de demain qui ne s’accouchera pas aux forceps. C’est le premier film que je reverrais qui sait j’entraînerai Pascal. On a tellement besoin de cette sincérité que l’on a consigné, confondu avec de la sensiblerie du nombrilisme alors que non. C’est vrai aussi pour le film de Maïwenn la scène avec Fanny Ardant mère fille, je veux aussi le revoir pour aussi Louis Garrel qui se promène à vélo et bien-sûr pour le grand père et la musique d’Idir.