Les anglophones ont une expression que j’aime beaucoup pour décrire ce qu’on a vécu en 2020: you don’t know what you’ve got ’til it’s gone.
Après un été sans grands rassemblements festifs pour nous faire vivre des émotions fortes, on s’ennuie ferme de notre vie culturelle d’avant. Certains événements ont au moins pu se faire en version COVID : les Francos ont présenté une édition adaptée en septembre, Fantasia a également été capable de sauver les meubles pendant les semaines plus relaxes de l’été, le FME nous a permis d’assister à des shows en présentiel (même si on déteste le mot).