L'autre jour, France Culture interviewait un certain Pascal Bruckner.
Les arguments qui occupent le devant de la scène donneraient le contraire de leurs intentions. L'anti racisme est un racisme, le féministe est anti féministe, et, probablement, l'anti-colonialisme est un nouveau colonialisme. Tout cela nous monte les uns contre les autres, ce qui n'est dans l'intérêt de personne (anti droits de l'homme ?). Ces idée sont importées des USA et ne concernent pas la France, qui a une culture et une histoire à elle.
Ceux à qui on attribue ces idées dominantes (par exemple Edward Saïd et Franz Fanon) ne les pensaient pas. (Sous-entendu : les champions de ces idées dominantes n'ont pas lu les dits penseurs ?)
Il a été à nouveau question "d'universalisme". Signification ? Cela semble être perçu, par la doxa dominante, comme la gousse d'ail et la croix en argent par le vampire. Un nouveau groupe d'intellectuels s'en prendrait-il à l'école dominante ? En tout cas, France Culture, vendredi matin, s'interrogeait sur les possibilités de recréer les conditions d'un débat.