Discours du ministre de l'éducation à midi, en hommage à ce professeur, ce simple professeur, qui pensait que savoir était un grand trésor. Et qui a fini décapiter à cause d'une pensée, d'une religion, que le ministre de l'éducation refuse de citer. Jamais les mots "islam", "islamisme", "musulman" n'auront été cité. Jamais.
"Les ennemis de la république" était le terme. Mais on va enfin avoir les couilles de les citer ces ennemis de la République ? Ce n'est pas le vieux monsieur qui promenait son chien pendant le confinement ou le catholique qui voit son fils se faire moquer à l'école car il fait le catéchisme.
C'est qui le Bataclan, Charlie, l'hyper cascher, Nice, etc... ? C'est l'Islam, religion des lumières qui tuent ce qui la critiquent.
La ville de Paris avait inauguré un jardin Arnaud Beltrame, une autre victime de cet islam radical. Qu'est il écrit sur cette plaque ? Il a été "victime de son héroĂŻsme"... Encore peur de citer l'ennemi, qui c'est vrai a un poids électoral fort. Mais je suis comme Muriel Cousin, je pensais que c'était le terrorisme islamique qui avait tué ce héros, et pas son courage...
Aujourd'hui les ennemis de la République ont un nom. Ils ont des complices aussi (l'islamogauchisme qui détruit la république). Mais taire que l'islam radical aujourd'hui est celui qui tue, pour conserver une clientèle électorale qui a un poids fort, c'est criminel.
Lire aussi le dossier sur la petite Mila dans le Point de cette semaine. Nausée totale.
Le républicain que je suis ira peut être à l'église demain. J'ai en plus des gens de ma famille hospitalisé à cause du Covid...