C'est con, faire une grossière erreur de débutant, juste au moment où je décidais d'arrêter. Je savais que j'étais fatigué, j'aurais dus
prendre mes habituelles précautions, ne pas mouiller ce blog-ci, celui qui me sert de détente.
Il doit bien se marrer à l'heure qu'il est, déversant son éternel discours, comme une bande sans fin, s'acharnant sans aucun doute sur mon adresse Email, dévoilée par ma bêtise. Comme il ne lit
pas ce qu'on lui écrit, il répète, encore et encore, que ce n'est pas lui, qu'il ne fait que recopier. Acharnes-toi donc si tu veux, le robinet est fermé, l'adresse est sacrifiée.
C'est ça qui est con, cette plate-forme est tellement simplette, que je n'ai pas pris la peine de me faire un alias. Une case cochée, oubliée, et me voilà sur le parking.
En somme, c'est ce que je voulais, mais pas comme ça.
Et l'autre de se demander pourquoi une madame totalement inconnue lui en veut.
Moi, je me connais très bien, je ne vois pas où est l'inconnue.
Quand tu marches, que le soleil te réchauffe les épaules, et que malgré cela tu te demandes pourquoi t'as froid aux pieds, c'est à cause de ton ombre qui s'y accroche.
Vous voyez, mes Yoyos, la haine est là, bien présente, en moi, en eux.
Et si je restais là, planté sur ce parking, serez-vous épargniez ?