En 1933, Gareth Jones est un journaliste britannique qui après avoir interviewé Hitler, souhaite réitérer avec Staline. Il découvre vite que les journalistes occidentaux sont muselés et ne peuvent quitter Moscou. Son contact a été assassiné après avoir découvert le sort de l'Ukraine et décide de s'y rendre.
A travers l'histoire de Gareth Jones ce biopic évoque la propagande soviétique et la tragédie de la famine ukrainienne provoquant des millions de morts dans les années 1930. Le récit qu'en rapporte Jones inspirera " La ferme des animaux " à George Orwell.
: de François Ozon, avec Benjamin Voisin, Félix Lefebvre, Valérie Bruni-Tedeschi
L'adolescence, la passion, les serments, l'amitié, les doutes.
Sans cliché et avec pudeur, François Ozon dresse un portrait subtil d'une tranche d'âge complexe.
LE BONHEUR DES UNS : de Daniel Cohen, avec Vincent Cassel, Bérénice Béjo, Florence Foresti, François Damiens.
Une vendeuse de prêt-à-porter révèle a ses proches qu'elle écrit un livre, personne ne la prend au sérieux jusqu'à ce que le livre paraisse et soit un succès.
Finalement les avis divergent, j'ai beaucoup aimé le thème de l'épanouissement personnel que chacun a besoin de trouver (parce que ça me parle, certainement aussi), ainsi que la jalousie que suscite la réussite et aussi le personnage parfaitement insupportable de Vincent Cassel en mari jaloux et macho au point d'en être touchant parce que mal dans sa peau. En revanche, mon amoureuse était moins enthousiaste, trouvant le film sans émotion (elle exagère je trouve) mais avait passé un bon moment grâce à l'humour des dialogues.