J’ai lu le livre précédent de Sarah Chiche, Les enténébrés. Celui-ci ne fait pour une large part qu’en reprendre les éléments et se concentrer sur le deuil. Un deuil dont l’autrice souhaite qu’il ne cesse jamais. C’est pourquoi, je suppose, elle y revient. Si on n’a pas lu Les enténébrés, on peut découvrir ici l’écriture de Sarah Chiche. Si on a lu Les enténébrés, ce livre-ci n’apporte pas grand chose, à l’exception du premier et du dernier chapitres. C’est essentiellement un travail qui relève de la psychanalyse. Or, ici la psychanalyste est l’autrice. Lecteur, je ne suis pas et ne peux pas être à cette place.