Festivals,universites

Publié le 08 septembre 2020 par Libracteurs

L’époque est aux festivals contrariés par le COVID et aux universités de rentrée en tous genres perturbées par les ambitions inavouées, les frilosités de certains et les outrances traditionnelles d’autres.

Le plus grave est ailleurs, car pour 2021 et 2022 une nouvelle fois le pays ne semble pas avoir compris. LIBR’ACTEURS dénonce depuis des années une démocratie cadenassée par des partis politiques confis de certitudes, enfermés dans des fonctionnements dépassés et d’autres corps intermédiaires qui n’ont de représentatifs que le nom.

La démocratie française fonctionne comme les « CLOSED SHOP » des syndicats britanniques, ou l’accès à une profession était interdit à ceux qui n’avaient pas la bonne carte. Difficile à de nouveaux talents dépourvus d’appuis de se faire entendre. Il est urgent d’entendre et de fédérer les initiatives novatrices et de dire aux partis politique que leur temps est fini, et que le pouvoir qu’ils s’octroient de dire qui sera candidat et qui ne le sera pas n’a plus de sens.

La vraie démocratie c’est celle qui vit dans le bénévolat et l’engagement associatif. Le COVID et les séquelles économiques et sociales engendrées conduisent tout un chacun à se poser des questions.

Quelle place doit tenir le citoyen de base, quels services méritent effectivement le label « service public », quelles sont les limites des pouvoirs locaux de proximité, pour ne pas nuire à certaines souverainetés qui permettent de faire Nation.

Il est encore temps et urgent de mobiliser la vitalité citoyenne pour dégager des consensus indiscutables sur les vraies priorités. Outre la santé qui a conduit LIBR’ACTEURS à cofonder l‘INSTITUT-SANTE (www.instituit-sante.org), il semble qu’une nouvelle donne constitutionnelle, un cadre social en phase avec l’évolution démographique, la redéfinition des missions régaliennes de l’État, la remise a sa place d’un capitalisme patient et vertueux, ou encore la redéfinition d’une UNION EUROPÉENNE dans ses frontières et ses ambitions, constituent des axes porteurs.

Il convient donc de trouver le meilleur vecteur pour faire vivre, ces débats en proximité, tiers de confiance reconnu, de nature à permettre une centralisation et livrer des consensus les plus larges.

Le cadre communal, adossé au cadre associatif, peuvent répondre à cet objectif. Préalable au choix des managers élus qui piloteront ces changements sous le contrôle de représentations citoyennes, cette ambition n’a que faire des jeux de partis et petites ambitions personnelles !

R HASSELMANN.

« LIBR’ACTEURS »

     Pour un citoyen acteur de son destin !