Il faut comprendre le second degré et ce que l'on appel les "inside joke" en anglais. Musiciens venu d'un petit village d'Islande, Lars (Will Ferrell) et Sigrit (Rachel McAdams) n'ont qu'un objectif, faire partie du programme qui un soir de 1974, a fait entrer dans leur vie de la lumière avec la victoire d’Abba avec leur Waterloo. Malgré le fait que leur projet ne rencontre que moquerie et critiques dans leur petit village de pêcheurs rien ne les empêche de travailler, de chanter et d'avoir espoir de voir un jour, leur rêve prendre vie. Ceci arriva, par un improbable concours de circonstances où le duo se voit sélectionné. Propulsés à Édimbourg, ville hôte de cette Eurovision de fiction, Lars et Sigrit multiplient les malchances et les mésaventures sous l’œil moqueur du candidat russe Alexander Lemtov (Dan Stevens) et du très critique commentateur anglais. Vont ils surmonter la pression du concours et des autres candidats pour rentrer dans l'histoire ?
L'histoire de la saga de feu présente une bande-son indéniablement accrocheuse et même au paroles kitch - mais étonnamment authentiques - du film s'est même étendu aux vrais candidats au concours Eurovision qui pour certain, font partie des Guest Stars du film. Le film met également en vedette Dan Stevens et Pierce Brosnan de Downton Abbey et présente une foule de grands noms liés à l'Eurovision, notamment Graham Norton, Conchita Wurst et Alexander Rybak, le Français Bilal Hassani, ainsi que la chanteuse Demi Lovato.
Le réalisateur du film, David Dobkin, a expliqué à Digital Spy comment cette séquence est née, la qualifiant de "scène pour quiconque aime l'Eurovision".
Et oui, parfois de regarder des films kitch à l'humour décaler ça peut faire du bien ! Surtout vu les mois précédents et les catastrophes que le monde a pu vivre. Si ce film réunis de très grands acteurs et chanteurs, il porte un message d'amour de la différence. Il permet aussi de prendre du recul sur la vie et sur la manière de comprendre différentes cultures ou personnes. Il est en effet, très intéressant de comprendre en quoi l'humour des uns n'est pas l'humour des autres. Que la réalité, les rêves ou les priorités de chacun diffèrent dans le monde.
Par exemple, 62% des Islandais croient en l'existence du «peuple invisible». Dans ce pays nordique, les légendes et les croyances envers «le petit peuple» (elfes, lutins, fées et autres farfadets) sont une réalité pour de nombreux habitants.Les Elfes, ou "peuple caché" (Huldufólk en islandais) font partie de l'histoire de l'Islande depuis l'arrivée des Vikings sur l'île en 1000 après JC. On dit que ces mystérieuses créatures sont à peine visibles ; qu'elles se cachent entre les rochers ou derrière la lave. Apparemment, ils sont très semblables aux humains et ont même un mode de vie similaire. Ils vont à l'église le dimanche, portent des vêtements du XVIIe siècle, s'occupent du bétail et cueillent des baies. Le lieu où elles vivent, les Álagablettur, sont principalement des formations rocheuses comme des rochers, des falaises, etc. Les lieux les plus emblématiques et les plus connus censés être leur lieu de vie sont le parc Hellisgerði à Hafnarfjörður, lieu de vie de la famille royale des elfes, Ásbyrgi, Grundarfjörður, Dimmuborgir, Dverghamrar ou encore Grímsey. Pure invention ou réalité, ces créatures sont encore extrêmement importantes dans la culture islandaise car particulièrement en lien avec la conservation et l'entretient de la nature au sens propre. De nombreuses fêtes islandaises ont un lien particulier avec les elfes. Par exemple, à la Saint-Sylvestre, la tradition veut que les elfes déménagent, et les gens allument des bougies pour les aider à trouver leur chemin.
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