- Le mal c'est le confessionalisme, pas la religion. Un communautarisme mafieux, qui détruit la société. La religion n'est qu'un paravant pour l'intérêt personnel. Il faut un Etat "laïc".
- Les communautés, occupées à s'entre déchirer vont chercher de l'aide à l'extérieur. Ce qui change tout, car, je pensais que les pays étrangers tiraient les ficelles du Liban, alors que c'est le contraire : sans complicités internes, ils ne pourraient rien faire.
- Finalement, les freins au changement sont les grands fauves qui dirigent le pays, dont l'assemblée nationale. Leur opposition n'est qu'apparente. En réalité, ils se serrent les coudes.
- La France serait le seul pays capable de discuter avec tout le monde, les autres nations ayant choisi leur camps (ou ne connaissent pas le Liban ?).
Emission de Christine Okrent sur le Liban, France Culture, samedi. Je retiens :