Le 26 août, tous les chiens sont à l'honneur, toutes les races, il y en a plus de 350, des plus grands aux plus petits, les dangereux, les affectueux, les intelligents et ceux qui le sont moins… Il y a ceux qui ont un pedigree et sont inscrits dans le LOF ou Livre des origines français et s’appellent "chien de race". Les autres sont des bâtards, issus de deux races, ou des corniauds à la race très imprécise…Mais tous ont inspiré les écrivains, les peintres et les sculpteurs.
Et ils sont variés effectivement, depuis les grands comme le mastiff ou le Saint-Bernard qui peuvent mesurer jusqu’à 90cm de hauteur jusqu’aux très petits tels le chihuahua ou le bichon maltais qui ne pèsent au maximum que 3kg. Certains passant pour plus intelligents que les autres, le caniche ou le berger allemand par exemple, On dit le golden retriever et le teckel très affectueux.
Il n’y a pas que le chien de compagnie qui passe ses jours mollement installé sur les coussins de son panier et se gave de friandises en attendant la petite promenade quotidienne… Certains sont élevés dans le but de participer à des concours de beauté. Il y en a aussi qui travaillent et qui souvent sont éduqués pour cela. Ils gardent les troupeaux, guident les aveugles, aident la police, détectent les drogues ou les munitions, recherchent et sauvent les victimes de tremblements de terre ou de catastrophes diverses. On les utilise aussi dans les conflits. Tous ces chiens ont généré de multiples professions, vétérinaire, toiletteur, éleveur, éducateur, comportementalisme et même dog-sitter…. Cette classification entre chien d'utilité et de compagnie a été répertoriée pour la première fois par John Caius dans son ouvrage De Canibus Britannicis en 1570.
Mais le tableau n’est pas toujours aussi idyllique, il faut rappeler que la France reste le pays où l'on abandonne le plus les animaux et un tiers d’entre eux sont des chiens. Ce n’est rien cependant en comparaison de ce que peuvent subir les "galgos" espagnols. Ce lévrier poursuit les lèvres et autres lapins, à la chasse aussi bien que sur les cynodromes. Mais lorsqu’ils ne sont plus assez performants aux yeux de leur maître, ils sont alors exposés aux pires sévices, pendus à des arbres, affamés, jetés dans des puits. Malgré les nombreuses plaintes de plusieurs pays, la situation ne s’améliore que très lentement et cette pratique ancestrale fait encore plusieurs milliers de victimes chaque année. Rédaction internationale En savoir plus sur cet auteur En général vite oubliées dès la rentrée, les séries télévisées estivales ne sont jamais très passionnantes. Bâties sur des clichés manichéens qui permettraient prétendument aux téléspectateurs de s'y retrouver plus facilement parmi la kyrielle...