Auschwitz... Ravensbruck... Dachau... Buchenwald... Sachsenhausen... et quelques autres encore...
Les noms de l'Inommable, à jamais gravés dans la Mémoire collective...
Mémoire qui, en France, se perpétue également au cimetière du Père-Lachaise, lieu éminement politique s'il en est.
Non content d'être l'un des plus grands cimetières qui soient, Le Père-Lachaise est également le seul cimetière au monde (hormis le Mémorial Yad Vashem, à Jérusalem) où chaque grand camp de la mort a son monument funéraire *, à la mémoire des victimes de la barbarie nazie, qu'elles soient juives, résistantes, communistes, homosexuelles, tsiganes, mais également les déportés du Service du Travail Obligatoire...
Déambulation au milieu des fantômes...
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* Contrairement aux autres, qui présentent un hommage global à tous les camps et toutes les victimes.
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Et juste au même moment, Riton, l'un des meilleurs tourneurs de manivelle parisiens, et ses amis entonnaient "le Temps des cerises" devant la tombe du concepteur de cette célèbre chanson, Jean-Baptiste Clément, à l'occasion de la Commémoration de la fin de la Commune de Paris, en Mars 1871.
J'étais avec Gérard Lavalette.