Après un grand discours du président il y a quelques jours à l’anniversaire de fondation de l’Université de Buenos Aires, la UBA, la première université publique du pays par sa taille et ses résultats, le ministre, un biochimiste qui a dirigé le CONICET, l’équivalent du CNRS en France, passe en revue les enjeux de son poste et de la politique publique à mettre en œuvre pour relever les défis mis à jour par la pandémie en Argentine comme partout ailleurs.
Pour aller plus loin : lire l’article de Página/12